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La résilience d'un battant

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En 2007, à l’aube de la cinquantaine, rien ne laisse présager que François Lefebvre deviendra un marathonien. Sédentaire, il ne pratique aucune activité physique et souffre d’embonpoint, de cholestérol, de diabète de type 2 et d’ostéoporose. « Je voyais mon corps comme une lourde hypothèque. Tous les jours, je devais prendre plusieurs médicaments pour traiter toutes ces maladies et je n’avais pas d’énergie, » se souvient-il.

Cette année-là, sa vie bascule lorsqu’il reçoit un diagnostic de tumeur à l’hypophyse, une glande liée au cerveau et qui gère le système endocrinien. « J’ai tout de suite imaginé le pire. On n’est jamais préparé à une telle nouvelle qui nous fait craindre la mort. » Mais une autre épreuve attend M. Lefebvre. Au cours d’un examen d’imagerie médicale du cerveau, des anomalies sont observées et un autre diagnostic tombe : la sclérose en plaques.

« Il y a environ 25 ans, j’ai eu des problèmes avec mes yeux. Ma vision a été trouble pendant environ deux mois, se souvient-il. La possibilité que ce soit la sclérose en plaques avait été évoquée, mais aucun diagnostic n’avait été posé. D’autres épisodes de problèmes de vision ont eu lieu au fil des ans, mais j’ai négligé de consulter, puisqu’ils ne me semblaient jamais assez graves pour le faire. »

Un épisode déterminant change sa vie à la fin de l’année 2007. Sa fille, qui revient de courir un demi-marathon, le met au défi : « l’année prochaine, papa, j’aimerais qu’on coure le demi-marathon ensemble. » Il n’en fallait pas plus pour qu’il chausse ses souliers de course et se mette à l’entraînement.

Des kilomètres plus tard

Aujourd’hui, François Lefebvre se dit encouragé. Son endocrinologue, la Dre Nahla Aris-Jilwan, lui annonce toujours de bonnes nouvelles lorsqu’il vient au CHUM. « Ma tumeur est en train de disparaître. Je n’ai plus à m’en inquiéter, mis à part quelques médicaments à prendre pour m’assurer qu’elle ne revienne pas, se réjouit-il. Quant à la sclérose en plaques, mon neurologue, le Dr Jean-Marc Girard, m’a rassuré. L’évolution de la maladie est très lente et il me recommande maintenant un suivi tous les deux ans.
Je suis vraiment chanceux en ce sens. »

Huit demi-marathons et cinq marathons plus tard, François Lefebvre a rajeuni de 15 ans. L’activité physique fait maintenant partie de son quotidien, et sa maladie l’inspire à se dépenser. « Quand je cours, je me dis qu’il est possible que je ne puisse plus marcher le lendemain. Ça peut sembler effrayant, mais chaque fois, je savoure le moment en me disant que je suis tellement chanceux de pouvoir courir ! »

Quant à ses autres ennuis de santé, ils ont disparu. Il ne prend plus de médicament pour le diabète, sa densité osseuse est redevenue normale, il a perdu 23 kg (50 lb) et il ne lui reste qu’une toute petite pilule à prendre quotidiennement pour traiter son cholestérol. « J’ai connu l’embonpoint. J’ai connu mon corps comme un frein et non comme un actif. J’étais la seule personne à détenir le pouvoir de changer ma vie. La course m’a sauvé la vie et m'a appris que je peux relever non seulement des défis athlétiques, mais également personnels et professionnels. »

Son expérience des explosions au marathon de Boston* n’a pas eu raison de sa motivation. « Je l’ai échappé belle ce jour-là. J’avais franchi le fil d’arrivée cinq minutes avant les explosions et me trouvais à 200 mètres des lieux lorsqu’elles se sont produites. » Cela ne l’a pas empêché de rechausser ses souliers de course. Il a même établi un nouveau record personnel au marathon d’Ottawa, le 26 mai dernier, en parcourant la distance de 42 kilomètres en 3 h 27 min 34 s.

Sa motivation est contagieuse : son épouse, ses enfants et même ses petits-enfants se sont mis à la course. Depuis l’automne dernier, il partage sa passion en accompagnant des groupes de coureurs chaque semaine pour les initier à la course, leur transmettre des techniques et les aider à atteindre leurs objectifs.

Le CHUM lui souhaite la santé, le plus longtemps possible!


* Le marathon de Boston du 15 avril 2013 a été assombri par deux explosions tuant trois personnes et blessant plus d’une centaine d’autres.


La Fête de l’enseignement : une note parfaite!

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C’est tout en musique et en émotions que s’est tenue la quatrième Fête de  l’enseignement au CHUM, le 5 juin dernier.

Lors de cette soirée, plusieurs prix ont été remis à des professionnels, dont 20 bourses de recherche postdoctorales (fellowship). « L’attribution de ces bourses permet aux jeunes spécialistes du CHUM de se perfectionner à l’extérieur du Québec, d’acquérir un savoir essentiel pour offrir les meilleurs soins qui soient et de faire rayonner notre expertise à l’extérieur de nos frontières », a déclaré Christian Paire, directeur général et chef de la direction du CHUM.

Les bourses, totalisant un million de dollars, ont été offertes grâce aux efforts concertés de la Direction générale, des départements et services médicaux du centre hospitalier, du Conseil des médecins, dentistes et pharmaciens (CMDP) et de la Fondation du CHUM. « Merci aux donateurs grâce à qui nous pouvons aujourd'hui souligner le travail de gens exceptionnels », a souligné M. Yvon Deschamps, porte-parole de la Fondation du CHUM.

Les personnes présentes ont eu le privilège d’assister, en direct, à une activité de simulation. Une équipe multidisciplinaire, composée d’un médecin, de deux ambulanciers, d’une inhalothérapeute et d’une infirmière, ont réussi à réanimer un homme (un mannequin utilisé pour les simulations) victime d’un arrêt cardiaque. « Le CHUM possède un grand savoir et notre mission est de le partager. Notre façon d’enseigner s’inspire de l’évolution technologique. Nous avons maintenant accès à de l'équipement et à des méthodes d’apprentissage beaucoup plus dynamiques et interactives, mais pour mettre la vie au centre de ce savoir-faire, il faut des gens ! Ce sont leurs qualités humaines, leur esprit d’innovation et leur générosité que nous reconnaissons aujourd’hui », expliquait la Dre Marie-Josée Dupuis, directrice de l’enseignement du CHUM.

L’excellence de plusieurs médecins, résidents infirmières et individus des divers secteurs interprofessionnels a été soulignée lors de cette soirée de reconnaissance.

Cliquez pour connaître les lauréats et découvrir leurs PHOTOS

Volume 4 numéro 2

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La résilience d’un battant

En 2007, à l’aube de la cinquantaine, rien ne laisse présager que François Lefebvre deviendra un marathonien. Sédentaire, il ne pratique aucune activité physique et souffre d’embonpoint, de cholestérol, de diabète de type 2 et d’ostéoporose. Cette année-là, sa vie bascule lorsqu’il reçoit un diagnostic de tumeur à l’hypophyse, une glande liée au  cerveau et qui gère le système endocrinien.

Son histoire en page 12.
 
Pour la version interactive >>>

Dossier : l’évaluation des technologies et des modes d’intervention en santé (ETMIS)

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Les meilleures technologies au service des patients

Des cinq volets de la mission du CHUM, l’ETMIS est sans doute le moins connu. Pourtant, il joue un rôle déterminant dans la qualité des soins et des services offerts aux patients. Rappelons en quoi consiste la mission du CHUM. D’abord les soins : cela va de soi dans tout hôpital. Quant à la recherche et l’enseignement, ce sont des particularités propres aux hôpitaux universitaires. Le CHUM a également pour mission la promotion de la santé, tant pour les patients que les membres du personnel. Mais l’ETMIS ?

Voilà pourquoi un dossier lui est consacré! Découvrez cette mission mystérieuse qui prend tout son sens dans un centre hospitalier qui se veut performant et à l’affût de ce qui se fait de mieux pour soigner ses patients.


Pourquoi l’ETMIS ?

La médecine évolue rapidement. De nombreuses technologies et façons de faire voient sans cesse le jour. Il fut un temps où la responsabilité d’intégrer de nouvelles technologies à l’hôpital revenait aux médecins et aux administrateurs. Aujourd’hui, ceux-ci doivent être appuyés par des spécialistes, car il est parfois difficile de s’y retrouver dans la complexité et la quantité de nouvelles technologies, ou encore de mettre en application de nouvelles pratiques dans une équipe de travail. C’est là qu’entrent en jeux les professionnels de l’ETMIS, qui ont pour mission de conseiller et d’accompagner les décideurs du CHUM dans leurs choix de technologies et de modes d’intervention en santé.


Ses mandats

Le premier mandat de la DETMIS (Direction de l’ETMIS) est de produire une évaluation objective des données probantes concernant l’efficacité, la sécurité et les coûts d’une technologie ou d’un mode d’intervention. Ce mandat exclut l’évaluation des médicaments et ne concerne pas le remplacement d’un équipement désuet. Le CHUM se sert de ces évaluations, notamment pour prioriser les acquisitions d’équipement et les nouvelles procédures.

La DETMIS relève également deux autres mandats qui contribuent au rayonnement du CHUM en tant que centre hospitalier performant : la valorisation des innovations issues du Centre de recherche (CRCHUM) et le rôle conseil auprès de l’industrie lors de la phase précommerciale d’une technologie. « Ce dernier mandat permet au CHUM de créer des partenariats avec divers acteurs de l’industrie. D’ici l’ouverture du nouvel hôpital, en 2016, le CHUM a l’ambition de devenir un leader dans l’évaluation des technologies en santé à leur phase précommerciale », explique le Dr Luigi Lepanto, directeur de l’ETMIS.


Le directeur et son équipe

Le Dr Luigi Lepanto, directeur de l’ETMIS, a plusieurs cordes à son arc. Radiologue, chercheur et professeur titulaire de clinique au Département de radiologie ayant une affiliation secondaire au Département d’administration de la santé de l’École de santé publique de l’Université de Montréal (DASUM), il a manifesté son intérêt pour l’ET MIS en 2008, alors qu’il obtenait sa maîtrise en évaluation des technologies. Quatre autres employés forment la DET MIS : une adjointe administrative, Mme Duy-Ha Ta, et trois agents de planification, programmation et recherche, soit M. Raouf Hassen-Khodja, M.D., M. Sc., Mme Imane Hamanna, Ph. D., et M. Simon Deblois, M.A., M. Sc.


 

Projets complexes et variés
« Les choix d’équipements technologiques ou de modes d’intervention qui découlent des évaluations faites par mon équipe ont une influence directe sur la qualité des soins offerts aux patients ou sur le bon fonctionnement des équipes de travail. Je suis heureux de pouvoir compter sur une équipe hautement qualifiée pour mener à bien cette mission », se réjouit le Dr Lepanto.

L’expertise de la DETMIS est mise à contribution au CHUM dans des projets très différents et complexes. Par exemple, l’équipe prépare des rapports d’évaluation pour des procédures telles que la bronchoscopie par navigation électromagnétique, la mise en place de l’approche OPTIMAH* pour les aînés, de même que de nouvelles indications pour un assistant robot chirurgical. « Nous essayons de produire des rapports pour une demi-douzaine de projets par année, selon leur complexité et le volume de littérature à traiter. »

L’ampleur de la tâche est colossale pour une si petite équipe. C’est pourquoi, depuis le printemps 2013, un comité consultatif appuie la DETMIS et l’aide à évaluer la pertinence des projets qui lui sont soumis. Composé de sept membres de diverses directions du CHUM, ce comité a également le mandat d’entériner les rapports d’évaluation avant que ceux-ci ne soient soumis aux décideurs responsables de prioriser les acquisitions et nouvelles procédures au CHUM.

Voici l'exemple concret de deux projets récents pour lesquels l’expertise de la DETMIS a été mise à contribution.

À la Direction des ressources technologiques (DRT), deux projets en cours ont bénéficié de rapports d’évaluation de la DETMIS : la reconnaissance vocale, grâce à laquelle les médecins peuvent dicter leurs notes au lieu de les écrire, et l’informatisation de l'ordonnance d'imagerie, qui assure un meilleur cheminement des requêtes entre les départements.

« Dès le début de la réflexion entourant l’implantation de ces deux projets, nous avons fait appel à l’équipe du Dr Lepanto pour nous assurer de faire les bons choix », explique M. Ivan Pilon, conseiller à la DRT. « La revue de la littérature et les rapports de synthèse que la DETMIS a préparés nous ont permis de connaître les meilleures pratiques, d’anticiper certains problèmes et surtout, de mieux nous préparer en ayant conscience des défis. »


Des défis à relever

Être constamment à l’affût des meilleures pratiques en ETMIS est un défi que l’équipe du Dr Lepanto ne relève pas seule. En fait, il existe une communauté de pratique à laquelle la DETMIS prend part, sous les auspices de l’INESSS (Institut national d’excellence en santé et en services sociaux), notamment pour échanger sur les défis en ETMIS. Le Dr Lepanto préside également le comité en ETMIS du Réseau  universitaire intégré de santé de l’Université de Montréal (RUIS de l’UdeM), au sein duquel le CHUM projette son expertise dans le réseau de l’UdeM et le réseau de la santé.

« Le désinvestissement, soit le fait de remplacer une technologie moins efficace ou devenue désuète par une nouvelle technologie, fait partie de nos nombreux défis. La logistique et la transition entre les technologies, ainsi que la formation des employés doivent aussi être prises en compte », explique le Dr Lepanto. Malgré les nombreux défis, les ambitions de la DETMIS sont très grandes. Le progrès technologiques et le potentiel de développement de modes innovateurs d’intervention exigent une analyse scientifique des bénéfices et du rapport qualité-prix.

Le rôle de l’ETMIS a donc tout son sens dans la mission du CHUM!


* OPTIMAH est une approche interdisciplinaire de soins ayant pour but d’optimiser les soins aux personnes âgées de plus de 75 ans à l’hôpital.

Le CHUM dépose un mémoire dans le cadre de la consultation publique sur le programme québécois de procréation assistée

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Dans le cadre de la consultation publique sur le programme québécois de procréation assistée, le CHUM a déposé un mémoire au Commissaire à la santé et au bien-être.

Contrer la malnutrition chez les aînés : le CHUM innove!

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De la soupe enrichie de crème à l’hôpital? Cela peut sembler contraire aux recommandations nutritionnelles habituelles. Toutefois, l’ajout de crème offre une texture plus veloutée et un goût amélioré, une formule gagnante pour alimenter nos aînés!

Les besoins énergétiques et protéiques de la clientèle âgée sont accrus et difficiles à combler avec une alimentation normale. La malnutrition, qui touche de 30 à 60 % des personnes âgées hospitalisées, est décelée dans seulement 50 % des cas. Des études scientifiques démontrent un lien entre la malnutrition et l’augmentation de la durée de séjour, de la mortalité à l’hôpital, de la perte d’autonomie et du risque d’hébergement en CHSLD. Depuis l’automne 2012, le CHUM a donc mis en place une diète spécialement conçue pour les personnes âgées de plus de 75 ans. Cette diète s’inscrit dans le volet nutrition du programme OPTIMAH*.

Il est vrai que certains aliments enrichis dans la diète OPTIMAH contiennent davantage de matières grasses. Cependant, chez les personnes de 75 ans et plus, le risque de dénutrition est plus important que le risque d'avoir des maladies cardiovasculaires dans un contexte d’hospitalisation de courte durée. Certains mets plus « populaires » ou appréciés des patients ont été ciblés pour l’enrichissement. À ce jour, les chiffres démontrent la pertinence des mets choisis pour le menu de la diète OPTIMAH. Selon l’analyse des restes dans les plateaux de repas, on remarque que 75 à 100 % des soupes et des desserts enrichis sont consommés depuis la mise en place de la diète.

La diète OPTIMAH est non restrictive, riche en énergie et en protéines et faible en sodium. Elle est compatible avec le régime restreint en glucides pour les personnes diabétiques et est aussi offerte en différentes textures aux patients atteints de troubles de déglutition.

Le CHUM innove! La diète OPTIMAH est offerte de façon systématique à tous les patients âgés de 75 ans et plus hospitalisés et admis à l’urgence, à moins d’ordonnance médicale contraire.

Les patients aiment ce qu’ils mangent et s’alimentent davantage, ce qui contribue à augmenter leur apport énergétique et protéique nécessaire à leur santé. C’est une grande étape d’accomplie! Bon appétit!


*OPTIMAH : OPTIMisation des soins aux personnes Âgées à l’Hôpital

PHOTO : Mme Rose, fière ambassadrice de l’approche OPTIMAH avec Mme Paris, patiente du CHUM

La maladie d’Alzheimer : symptômes, diagnostic, traitements et prise en charge

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Au Canada, on estime à 500 000 le nombre de personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer ou d’une affection apparentée. Avec le vieillissement de la population, l’Organisation mondiale de la Santé prévoit que le nombre de cas devrait doubler dans le monde d’ici 2030 et plus que tripler d’ici 2050.

Le Dr Fadi Massoud, gériatre au CHUM et à l’Institut universitaire de gériatrie de Montréal (IUGM), et le Dr Alain Robillard, neurologue et codirecteur de la Clinique de la mémoire de l’Hôpital Maisonneuve-Rosemont de Montréal, ont lancé en février dernier un livre sur la maladie d’Alzheimer. Dans un langage simple et clair, le livre couvre les différents aspects de la maladie (symptômes, diagnostic, traitements et prise en charge) et fournit des informations pratiques.

184 pages – 19,95 $ en librairie

apediteur.com/sante/livre/la-maladie-d-alzheimer

Une équipe engagée au profit de la Fondation du CHUM!

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Le 7 septembre prochain, un groupe de courageux cyclistes, avec à leur tête le Dr Paul Perrotte, uro-oncologue et président du Conseil des médecins, dentistes et pharmaciens (CMDP) du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM), parcourront en une journée les 275 km qui relient les vill


42,2 km au profit de la Fondation du CHUM!

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Le Défi Pierre Brise-Bois du Marathon Oasis de Montréal se tiendra le 22 septembre prochain. Il s’agit d’une activité sportive organisée par Pierre Brise-Bois afin de récolter des fonds pour la Fondation du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM).

Procréation assistée

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POURQUOI CHOISIR DE RÉALISER VOTRE PROJET AVEC NOUS 

RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX 

LES ACTIVITÉS COUVERTES PAR LA RAMQ
 

POURQUOI CHOISIR DE RÉALISER VOTRE PROJET AVEC NOUS 

Vous avez décidé de réaliser votre souhait de devenir parent mais vous avez besoin de support médical pour y arriver.

De tous les critères que vous recherchez pour vous assurer une expérience positive, voici ceux que vous retrouverez à la Clinique de procréation assistée du CHUM :

Une équipe d’expérience qui a fait ses preuves;

L’équipe médicale de la clinique cumule des dizaines d’années d’expérience et dont les membres ont le même but commun, celui d’offrir les meilleurs traitements avec les technologies les plus avancées, avec le plus grand respect des patient(e)s tout au long du processus qu’ils doivent traverser.

Des résultats enviables dignes des plus grandes cliniques;

Les résultats qui classent la clinique parmi les meilleures du pays. 

Un délai d’attente raisonnable

Le délai d’attente pour un premier rendez-vous avec un fertologue est inférieur à 8 semaines.
Pour voir un spécialiste en endocrinologie, urologie ou génétique, le délai est inférieur à 12 semaines.
Dès que vous avez commencé vos démarches et que votre protocole de traitement a été déterminé par le médecin, il n’y a aucune attente pour commencer le processus.

Tous les services à un seul et même endroit

Nul besoin de vous déplacer dans différents centres pour obtenir des services d’analyses (spermogramme, réserve ovarienne, bilan préconceptionnel, hystéroscopie, etc.), de consultation spécialisée (urologue, endocrinologue, généticien), de services professionnels (psychologue, nutritionniste, travailleuse sociale), vous obtenez tous les services couverts par le régime public au même endroit. Tous vos résultats et vos mises à jour de dossier se font automatiquement, sans avoir à prévoir de transfert. Une économie de temps et d’énergie pour se concentrer sur vos traitements. Voilà ce que le CHUM vous offre!

Des installations confortables et adaptées à vos besoins

Chaque salle a été pensée et conçue pour assurer votre confort. Que ce soit pour une échographie, un spermogramme, une intervention ou autre. Nos installations ont été prévues pour assurer autant que possible votre mieux-être. 

Une équipe dévouée et compréhensive à l’écoute de vos attentes

Chaque personne qui œuvre pour vous offrir des services de qualité le fait avec la même motivation qui est celle de répondre le mieux possible à vos attentes. N’hésitez pas à demander et vous constaterez que notre préoccupation de vous faire vivre une expérience positive est réelle. Notre équipe d’infirmières est d’ailleurs disponible 24 heures sur 24, 7 jours semaine pour les patientes qui sont en cours de traitement et qui ont besoin d’assistance immédiate.

Une atmosphère chaleureuse dans un environnement accueillant

La clinique offre un environnement aéré et lumineux qui favorise la détente. L’équipe de la réception vous accueille avec le sourire et toute la disponibilité nécessaire dès votre première visite.

Une approche de patient partenaire

La meilleure façon de favoriser le succès de tout traitement est de le faire avec une approche de partenariat. C’est ce que le CHUM applique comme pratique auprès de sa clientèle et la clinique de procréation assistée est un exemple à suivre. Votre projet devient le nôtre et vous êtes partie prenante de votre traitement. 

RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX 

Si vous en êtes à vos toutes premières démarches, voici les informations que vous devez connaître ainsi que les étapes que vous devez prévoir, selon votre situation.

Si vous êtes une femme, déterminez d’abord si votre condition fait partie de l’une de celles-ci :

j’ai moins de 30 ans et je tente d’obtenir une grossesse par relation sexuelle non protégée depuis plus d’un an sans succès;

j’ai entre 30 et 42 ans et je tente d’obtenir une grossesse par relation sexuelle non protégée depuis plus de 6 mois sans succès;

je suis une célibataire âgée entre 30 et 42 ans et j’ai un projet parental;

je suis en couple avec une personne de même sexe et nous avons un projet parental;

je suis en couple et un de nous deux présente un risque viral (hépatite B, hépatite C, VIH);

j’ai entre 43 et 50 ans (avec ou sans conjoint (e)) et j’ai un projet parental.

Si vous vous êtes reconnu(e) dans une de ces situations, vous remplissez la condition de base pour recourir à la procréation assistée. Vous n’avez pas besoin de référence de votre médecin.

Toutefois, vous pouvez avoir accès à nos services en présentant une référence de votre médecin traitant, si votre condition fait plutôt partie de celles-ci :

J’ai moins de 30 ans, mais mon dossier de santé présente des conditions médicales particulières qui confirment que je suis à haut risque d’infertilité (ex. : ménopause précoce, hérédité familiale, conjoint vasectomisé, etc.),

Je dois subir prochainement des traitements qui risquent d’affecter sérieusement ma fertilité (ex. : chimiothérapie), 

Aucun traitement n’est possible si vous avez plus de 50 ans.

Si vous êtes un homme, déterminez tout d’abord si votre condition fait partie de l’une de celles-ci :

je suis en couple et j’ai déjà subi une vasectomie, mais je voudrais avoir un enfant avec ma conjointe;

je suis en couple avec une personne de même sexe et nous avons un projet parental,

mon dossier de santé présente des conditions médicales particulières qui confirment que je suis à haut risque d’infertilité (ex. : hérédité familiale, spermogramme antérieur complété et non concluant, etc.);

je dois subir prochainement des traitements qui risquent d’affecter sérieusement ma fertilité (ex. : chimiothérapie).

LES ACTIVITÉS COUVERTES PAR LA RAMQ 

Maximum de 3 cycles de FIV sont couverts

Encore 3 autres cycles après une naissance

N’importe où, n’importe quand, ça compte

S’il n’y a pas de transfert d’embryon, ça ne compte pas

Un seul embryon

Les embryons congelés d’abord

Les médicaments sont couverts aussi

Contactez-nous

CLINIQUE DE PROCRÉATION ASSISTÉE
CENTRE HOSPITALIER DE L’UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL (CHUM)

Place Dupuis 
888, boulevard de Maisonneuve Est, 2e étage
Montréal (Québec) H2L 4S8 

Lundi au vendredi de 8 h 00 à 16 h 30
Samedi et dimanche de 8 h 00 à 14 h 30

Vous venez à la clinique par le métro

L’entrée de la clinique est située au 888, boulevard de Maisonneuve Est coin Saint-Hubert, tout juste à l’est de l’entrée du métro Berri-UQAM. Il y a deux sections de portes vitrées à franchir avant d’arriver aux ascenseurs qui vous conduisent au deuxième étage, où se trouve la clinique de procréation assistée du CHUM.

L’accès est également possible par les couloirs du métro. Vous devez suivre les indications pour la Place Dupuis. 
Nous sommes situés au 2e étage de la Tour 3. Pour vous rendre à la clinique, vous devez utiliser les ascenseurs (situés près du dépanneur). Vous ne pouvez pas accéder à la clinique par les escaliers.

Vous venez à la clinique en voitureGoogle map

Services

Voici la liste de tous les services que vous retrouvez à la clinique :

CONSULTATIONS SPÉCIALISÉES

  • Fertilité
  • Endocrinologie
  • Urologie
  • Génétique
  • Psychologie
  • Travail social
  • Nutrition
  • Sexologie

FÉCONDATION IN VITRO

  • Suivi de stimulation FIV (échographies & prélèvement)
  • Ponction d'ovules
  • Transfert d'embryon frais
  • Analyse de la charge virale sur le sperme
  • Transfert d'embryon congelé

INSÉMINATION INTRA-UTÉRINE

  • (Incluant échographie de monitorage et traitement sur Gradient)
  • Insémination classique avec sperme du conjoint
  • Insémination classique avec sperme de donneur
  • Insémination pour patient présentant un risque viral

ÉCHOGRAPHIE

  • Échographie de fertilité
  • Échographie de monitorage (suivi folliculaire)
  • Hystéroscopie diagnostique
  • Hystéroscopie opératoire
  • Échographie testiculaire

PRÉLÈVEMENTS DE SPERMATOZOÏDES

  • PESA / TESE
  • Micro-TESE
  • Biopsie testiculaire

CONGÉLATION ET ENTREPOSAGE

  • Congélation d'embryon
  • Entreposage d'embryons (annuel)
  • Congélation de sperme pré-FIV / Pré-insémination
  • Congélation de sperme prévasectomie
  • Congélation de sperme pour don dirigé
  • Entreposage de sperme congelé (par année)

SPERMIOLOGIE

  • Spermogramme complet (selon des normes de l'OMS)
  • Spermogramme pour patient présentant un risque viral (PCR)
  • Recherche d'anticorps antispermatozoïdes
  • Test de congélation de sperme
  • Recherche de sperme dans l'urine

BANQUE DE SPERME

  • Paillettes de sperme de donneur

HYSTÉROSCOPIE

  • Diagnostique et opératoire

Membres

À la direction
Directeur médical

  • Dr Jacques Kadoch
    Responsable des laboratoires et de la recherche
  • Dre Nicola Dean
    Coordonnatrice administrative
  • Mme Renée Cardinal
Nos médecins fertologues
6 médecins spécialisés en fertilité
  • Dr Roland Antaki
  • Dr Serge Bélisle
  • Dr François Bissonnette
  • Dr Jacques Kadoch
  • Dr Yves Korcaz
  • Dre Louise Lapensée
  • Dr Sylvain Ménard

Nos spécialistes

  • 1 urologue
    Dr François Bénard
  • 1 endocrinologue
    Dre Ariane Godbout
  • 2 généticiens
    Dr Zaki El Haffaf
    Dre Maude Lefebvre 

Aux laboratoires d'andrologie et d'embryologie

  • 1 responsable des laboratoires et de la recherche
    Dre Nicola Dean
  • 4 embryologistes
    Mme Suzanne Charland
    Mme Karima Haddak
    Mme Véronique Paradis
    Mme Katia St-Cyr

Nos professionnels de la santé :

  • 1 psychologue
    Olivia Regnault
  • 1 nutritionniste
    Mme Marielle Couturier
  • 1 travailleuse sociale
    Mme Véronique Lavoie
  • 1 sexologue
    Mme Renée Pichette

 

Le conseil d’administration du CHUM reconduit Christian Paire à la tête de l’établissement

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23 Août 2013

Montréal, 22 août 2013 –À la suite de la rencontre des membres du conseil d’administration du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM), son président Alain Cousineau annonce le prolongement du mandat de l’actuel directeur général et chef de la direction du CHUM, monsieur Christian Paire, pour une durée d’un an. Cette décision unanime permettra à l’actuel directeur général et chef de la direction de poursuivre les activités déjà entreprises dans le cadre de la construction du nouvel hôpital et de procéder à l’ouverture du Centre de recherche cet automne.

Les membres du conseil d’administration souhaitent la continuité dans la gestion de l’établissement et des grands projets. Par souci de rigueur, ils ont convenu d’attendre les rapports de l’Agence de la santé et des services sociaux de Montréal et du vérificateur général du Québec qui devraient être finalisés au cours des prochains mois.

En tant qu’entité imputable face au gouvernement pour les questions de gouvernance, le conseil d’administration du CHUM réitère sa confiance en monsieur Christian Paire. Ce dernier dirige avec vision et rigueur la transformation vers le nouveau CHUM et le Centre de recherche, et ce dans le respect des échéanciers et des budgets. « Nous sommes convaincus qu’il est un gestionnaire qualifié pour concrétiser l’implantation de ce complexe hospitalier d’envergure mondiale», affirme le président du conseil d’administration du CHUM Alain Cousineau.

Rappelons que le rôle du conseil d’administration du Centre hospitalier de l’Université de Montréal est de s’assurer de la performance, de la qualité et de la sécurité des soins offerts aux patients. Il veille au respect des droits des usagers et au traitement diligent des plaintes. Il se penche sur l’utilisation efficiente et économique des ressources humaines, matérielles et financières. Enfin, le conseil d’administration se donne comme mission d’optimiser et de valoriser les compétences du personnel soignant et administratif du CHUM.

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Le CHUM, votre partenaire de santé et de mieux-être
Le Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM) offre prioritairement des soins surspécialisés à une clientèle adulte régionale et suprarégionale dans toutes les spécialités médicales. Il est le principal pôle de développement et de transfert des connaissances par ses activités intégrées de soins, d’enseignement, de recherche, d’évaluation des technologies et des modes d’intervention en santé, ainsi que de qualité, de promotion de la santé et d’expérience patient. Dès 2016, le CHUM offrira une expérience hospitalière renouvelée dans ses nouvelles installations au centre-ville de Montréal. Le CHUM est un membre actif du Réseau universitaire intégré de santé (RUIS) de l’Université de Montréal. chumontreal.qc.ca



Source :
Direction des communications
Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM)

Renseignements :
Isabelle Lavigne
Conseillère en communication
Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM)
Téléphone : 514 890-8000, poste 15380
Téléavertisseur : 514 860-7110

Fertilité - Procréation assistée

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POURQUOI CHOISIR DE RÉALISER VOTRE PROJET AVEC NOUS 

Vous avez décidé de réaliser votre souhait de devenir parent mais vous avez besoin de support médical pour y arriver.

De tous les critères que vous recherchez pour vous assurer une expérience positive, voici ceux que vous retrouverez à la Clinique de procréation assistée du CHUM : 

  • Une équipe d’expérience qui a fait ses preuves;
  • Des résultats enviables dignes des plus grandes cliniques;
  • Un délai d’attente raisonnable;
  • Tous les services à un seul et même endroit;
  • Des installations confortables et adaptées à vos besoins;
  • Une équipe dévouée et compréhensive à l’écoute de vos attentes;
  • Une atmosphère chaleureuse dans un environnement accueillant;
  • Une approche de patient partenaire.

Contactez-nous

CLINIQUE DE PROCRÉATION ASSISTÉE
CENTRE HOSPITALIER DE L’UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL (CHUM)

Place Dupuis 
888, boulevard de Maisonneuve Est, 2e étage
Montréal (Québec) H2L 4S8 

Lundi au vendredi de 8 h 00 à 16 h 30
Samedi et dimanche de 8 h 00 à 14 h 30

Vous venez à la clinique par le métro

L’entrée de la clinique est située au 888, boulevard de Maisonneuve Est coin Saint-Hubert, tout juste à l’est de l’entrée du métro Berri-UQAM. Il y a deux sections de portes vitrées à franchir avant d’arriver aux ascenseurs qui vous conduisent au deuxième étage, où se trouve la clinique de procréation assistée du CHUM.

L’accès est également possible par les couloirs du métro. Vous devez suivre les indications pour la Place Dupuis. 
Nous sommes situés au 2e étage de la Tour 3. Pour vous rendre à la clinique, vous devez utiliser les ascenseurs (situés près du dépanneur). Vous ne pouvez pas accéder à la clinique par les escaliers.

Vous venez à la clinique en voitureGoogle map

Services

Voici la liste de tous les services que vous retrouvez à la clinique : clinique

  • consultations spécialisées; 
  • fécondation in vitro;
  • insémination intra-utérine;
  • échographie;
  • prélèvements de spermatozoïdes;
  • congélation et entreposage;
  • spermologie;
  • banque de sperme;
  • hystéroscopie.

RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX 

Si vous en êtes à vos toutes premières démarches, voici les informations que vous devez connaître ainsi que les étapes que vous devez prévoir, selon votre situation.

Si vous êtes une femme, déterminez d’abord si votre condition fait partie de l’une de celles-ci :

j’ai moins de 30 ans et je tente d’obtenir une grossesse par relation sexuelle non protégée depuis plus d’un an sans succès;

j’ai entre 30 et 42 ans et je tente d’obtenir une grossesse par relation sexuelle non protégée depuis plus de 6 mois sans succès;

je suis une célibataire âgée entre 30 et 42 ans et j’ai un projet parental;

je suis en couple avec une personne de même sexe et nous avons un projet parental;

je suis en couple et un de nous deux présente un risque viral (hépatite B, hépatite C, VIH);

j’ai entre 43 et 50 ans (avec ou sans conjoint (e)) et j’ai un projet parental.

Si vous vous êtes reconnu(e) dans une de ces situations, vous remplissez la condition de base pour recourir à la procréation assistée. Vous n’avez pas besoin de référence de votre médecin.

Toutefois, vous pouvez avoir accès à nos services en présentant une référence de votre médecin traitant, si votre condition fait plutôt partie de celles-ci :

J’ai moins de 30 ans, mais mon dossier de santé présente des conditions médicales particulières qui confirment que je suis à haut risque d’infertilité (ex. : ménopause précoce, hérédité familiale, conjoint vasectomisé, etc.),

Je dois subir prochainement des traitements qui risquent d’affecter sérieusement ma fertilité (ex. : chimiothérapie), 

Aucun traitement n’est possible si vous avez plus de 50 ans.

Si vous êtes un homme, déterminez tout d’abord si votre condition fait partie de l’une de celles-ci :

je suis en couple et j’ai déjà subi une vasectomie, mais je voudrais avoir un enfant avec ma conjointe;

je suis en couple avec une personne de même sexe et nous avons un projet parental,

mon dossier de santé présente des conditions médicales particulières qui confirment que je suis à haut risque d’infertilité (ex. : hérédité familiale, spermogramme antérieur complété et non concluant, etc.);

je dois subir prochainement des traitements qui risquent d’affecter sérieusement ma fertilité (ex. : chimiothérapie).

LES ACTIVITÉS COUVERTES PAR LA RAMQconsultation 

  • Maximum de 3 cycles de FIV sont couverts
  • Encore 3 autres cycles après une naissance
  • N’importe où, n’importe quand, ça compte
  • S’il n’y a pas de transfert d’embryon, ça ne compte pas
  • Un seul embryon
  • Les embryons congelés d’abord
  • Les médicaments sont couverts aussi

Membres

À la direction
Directeur médical

  • Dr Jacques Kadoch
    Responsable des laboratoires et de la recherche
  • Dre Nicola Dean
    Coordonnatrice administrative
  • Mme Renée Cardinal
Nos médecins fertologues
6 médecins spécialisés en fertilité
  • Dr Roland Antaki
  • Dr Serge Bélisle
  • Dr François Bissonnette
  • Dr Jacques Kadoch
  • Dr Yves Korcaz
  • Dre Louise Lapensée
  • Dr Sylvain Ménard

Nos spécialistes

  • 1 urologue
    Dr François Bénard
  • 1 endocrinologue
    Dre Ariane Godbout
  • 2 généticiens
    Dr Zaki El Haffaf
    Dre Maude Lefebvre 

À l'administration :

  • 1 assistante infirmière-chef
    Mme Magalie Pépin
  • 6 infirmières
    Mme Amélie Cantin
    Mme France Chapdelaine
    Mme Chantale Brassard
    Mme Gerda Magloire
    M Sylvain Petit
    Mme Annette Roussel
  • 1 infirmière auxiliaire
    Joséphina Isnado Montes
  • 1 préposée aux bénéficiaires
    Mme Chantal Larose

Aux laboratoires d'andrologie et d'embryologie

  • 1 responsable des laboratoires et de la recherche
    Dre Nicola Dean
  • 4 embryologistes
    Mme Suzanne Charland
    Mme Karima Haddak
    Mme Véronique Paradis
    Mme Katia St-Cyr

Nos professionnels de la santé :

  • 1 psychologue
    Olivia Regnault
  • 1 nutritionniste
    Mme Marielle Couturier
  • 1 travailleuse sociale
    Mme Véronique Lavoie
  • 1 sexologue
    Mme Renée Pichette

Aux soins infimiers :

  • 1 assistante infirmière-chef
    Mme Magalie Pépin
  • 6 infirmières
    Mme Amélie Cantin
    Mme France Chapdelaine
    Mme Chantale Brassard
    Mme Gerda Magloire
    M Sylvain Petit
    Mme Annette Roussel
  • 1 infirmière auxiliaire
    Joséphina Isnado Montes
  • 1 préposée aux bénéficiaires
    Mme Chantal Larose

 

Ascension du mont Everest pour l’épilepsie

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Début du camp d’entraînement pour le Dr Bouthillier

La marijuana n’est pas une drogue inoffensive

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28 Août 2013

L’image de « drogue inoffensive » associée à la marijuana est scientifiquement inexacte

Le cannabis influe sur les mécanismes responsables de l’accoutumance dans le cerveau des adolescents

Étant donné la nature du cerveau des adolescents, les consommateurs de cannabis dans cette tranche d’âge sont particulièrement exposés à acquérir des comportements de dépendance et à souffrir d’autres effets négatifs à long terme, selon des chercheurs du Centre de recherche de l’Université de Montréal (CRCHUM) et de l’école de médecine Icahn au centre médical Mount Sinai de New York. « Parmi les drogues illicites, le cannabis est la plus consommée par les adolescents, car beaucoup la considèrent comme peu nocive. Cette perception en a accru l’accessibilité et a amené un nombre croissant d’États à approuver sa légalisation. Dans la plupart des cas, les débats et les politiques sur le cannabis qui en ont découlé n’ont pas accordé suffisamment d’importance aux impacts de cette drogue sur l’un des groupes les plus vulnérables de la population, soit les adolescents, ou n’ont pas tenu compte des connaissances scientifiques disponibles », écrivent le Dr Didier Jutras-Aswad, chercheur du CRCHUM et Psychiatre à l’unité de psychiatrie des toxicomanies du CHUM (photo) et Dre Yasmin Hurd, M.D. Ph.D. de Mount Sinai. « Bien qu’il soit clair qu’il faudra davantage d’études scientifiques systématiques pour comprendre les effets à long terme de l’exposition des adolescents au cannabis sur leur cerveau et leur comportement, les connaissances actuelles mènent à penser que la consommation de cette drogue est lourde de conséquences sur les comportements de dépendance à l’âge adulte, surtout pour certains sous-ensembles de personnes vulnérables. »

Les chercheurs ont passé en revue plus de 120 études sur différents aspects de la relation entre le cannabis et le cerveau des adolescents, y compris la biologie du cerveau, les réactions chimiques dans le cerveau lorsque la drogue est consommée, l’influence des facteurs génétiques et environnementaux, ainsi que le phénomène de « drogue d’initiation ». « Les études épidémiologiques révèlent de façon répétée un lien entre la consommation de cannabis et l’accoutumance subséquente à des drogues dures ainsi que les troubles psychotiques (par exemple la schizophrénie). Il est intéressant de noter que le risque de développer de tels troubles après l’exposition au cannabis n’est pas le même pour tous les individus et qu’il est corrélé avec des facteurs génétiques, l’intensité de l’exposition au cannabis et l’âge de cette exposition. Lorsque la première exposition se produit vers le début plutôt que vers la fin de l’adolescence, l’impact du cannabis semble plus prononcé pour plusieurs troubles en lien avec la santé mentale, la réussite scolaire, la délinquance et le développement normal vers l’âge adulte », précise le Dr Jutras-Aswad.

Bien qu’il soit difficile de confirmer en toute certitude un lien de causalité entre la consommation de cannabis et des troubles psychiatriques ou addictifs ultérieurs, les chercheurs notent que des expériences sur des rats permettent aux scientifiques d’explorer et d’observer directement les mêmes réactions chimiques que dans le cerveau humain. Le cannabis agit sur notre cerveau par des récepteurs chimiques (récepteurs cannabinoïdes comme les récepteurs CB1 et CB2). Ces récepteurs sont situés dans les zones du cerveau associées à l’apprentissage, la recherche de récompenses, la motivation, la prise de décision, l’acquisition d’habitudes et les fonctions motrices. Comme la structure du cerveau change rapidement pendant l’adolescence (avant de se stabiliser à l’âge adulte), les scientifiques croient que la consommation de cannabis à cet âge influe grandement sur l’évolution de ces aspects de la personnalité. Dans des expériences sur des rats adolescents exposés à des substances présentes dans le cannabis, les scientifiques ont pu observer des différences dans les voies chimiques qui déterminent l’accoutumance et la vulnérabilité à la toxicomanie; un exemple est le récepteur de dopamine D2, qui est bien reconnu comme étant différent dans le cerveau des individus souffrant de dépendance. 

Environ un sur quatre consommateurs de cannabis à l’adolescence développe une relation d’abus ou de dépendance avec cette drogue; ce constat amène les chercheurs à conclure que des facteurs de vulnérabilité génétiques et comportementaux sont en cause. Des études montrent que la dépendance au cannabis peut être héritée par les gènes qui produisent les récepteurs de cannabinoïdes et une enzyme qui participe à la métabolisation du THC. D’autres facteurs psychologiques sont aussi probablement en jeu. « Les individus qui développent une dépendance au cannabis ont généralement, dès leur jeune âge, un tempérament caractérisé par des affects négatifs, de l’agressivité et de l’impulsivité. Certains de ces traits sont souvent exacerbés par des années de consommation de cannabis, ce qui laisse penser que le consommateur se retrouve piégé dans un cercle vicieux d’automédication, qui tourne ensuite à la dépendance », explique le Dr Jutras-Aswad.

Les chercheurs soulignent que bien qu’il reste encore beaucoup à apprendre sur les mécanismes de l’abus de cannabis, l’ensemble des recherches à ce jour présente des implications importantes pour la société. « Il est maintenant clair, selon les données scientifiques, que le cannabis n’est pas inoffensif pour le cerveau des adolescents, surtout ceux qui sont le plus vulnérables pour des raisons génétiques ou psychologiques. Le dépistage de ces adolescents vulnérables, notamment par des tests génétiques ou psychologiques, pourrait s’avérer critique pour prévenir l’accoutumance et pour intervenir de façon précoce pour traiter les troubles psychiatriques associés à la consommation de cannabis. L’objectif n’est pas d’exacerber le débat autour de la question de savoir si le cannabis est bon ou mauvais, mais plutôt de repérer les individus qui pourraient le plus souffrir de ses effets nuisibles et de mettre en place des mesures adéquates pour prévenir ce risque », indique le Dr Jutras-Aswad. « Les travaux de recherche devraient viser à informer les décideurs publics dans ce dossier. Sans ce genre de recherche systématique et fondée sur des données probantes pour comprendre les effets à long terme du cannabis sur le développement du cerveau, non seulement le statut juridique du cannabis reposera sur des bases incertaines, mais il sera difficile de développer de façon sécuritaire de nouveaux traitements utilisant les propriétés médicinales de composés tirés du cannabis pour le traitement d’autres problèmes de santé », conclut le Dr Hurd.

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À propos de cette étude
Le professeur Didier Jutras-Aswad, M.D., est psychiatre à l’unité de psychiatrie des toxicomanies du CHUM et il est affilié au Centre de recherche du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CRCHUM) et au Département de psychiatrie de l’Université de Montréal. Le professeur Yasmin L. Hurd, M.D. Ph. D., est affilié au Département de psychiatrie et de neurosciences de l’école de médecine Icahn au centre médical Mount Sinai. Leur étude, intitulée « Trajectory of Adolescent Cannabis Use on Addiction Vulnerability » (trajectoire de la consommation de cannabis par les adolescents selon la vulnérabilité à l’accoutumance) sera publiée dans la revue Neuropharmacology et a été financée par le National Institute on Drug Abuse des États-Unis.

À propos du CRCHUM
Le Centre de recherche du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CRCHUM) améliore la santé chez l’adulte par un continuum de recherche universitaire de haut niveau qui, en améliorant la compréhension des mécanismes étiologiques et pathogéniques, favorise la conception, l’implantation et l’évaluation de nouvelles stratégies préventives, diagnostiques et thérapeutiques. Le CRCHUM offre un environnement de formation assurant une relève engagée dans la poursuite de l’excellence. www.crchum.com

Le CHUM, partenaire de santé et de mieux-être
Le Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM) est l’un des plus grands centres hospitaliers universitaires en Amérique du Nord. Reconnu pour l’excellence de ses soins et l’expertise de ses spécialistes, il accueille chaque année plus d’un demi-million de patients provenant de la grande région montréalaise, mais aussi d’ailleurs au Québec. L’application d’approches de soins novatrices, la recherche de nouvelles connaissances, la promotion de la santé, de même que la transmission du savoir sont au cœur de sa mission.chumontreal.qc.ca


Personne-ressource auprès des médias :

Sylvie Robitaille
Conseillère en communication
Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM)
Téléphone : 514 890-8000, poste 15262
Téléavertisseur : 514 860-7110

William Raillant-Clark
Attaché de presse international
Université de Montréal
Téléphone : 514-566-3813

Christie Corbett
Senior Media Specialist
The Mount Sinai Medical Center
Tél. : 212-241-9200


Le CHUM est choisi pour implanter l'approche Lean Healthcare Six Sigma

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05 Septembre 2013

L'Agence de la santé et des services sociaux de Montréal annonce la sélection de trois établissements, dont le CHUM, pour implanter l'approche Lean Healthcare Six Sigma qui vise l'amélioration continue de la performance des soins et services pour l'usager en termes d'accès, de qualité et d'efficience.

Communiqué


Collecte de fonds En duo pour la Fondation du CHUM

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06 Septembre 2013

Une soirée-bénéfice jazz qui s’annonce mémorable!

 En plus d’entreprendre l’ascension du mont Mera Peak en avril 2014 dans le cadre de la collecte de fonds En duo pour la Fondation du CHUM, M. Guy Desautels organise également, en collaboration avec une équipe, une soirée-bénéfice jazz qui aura lieu le 28 novembre 2013 au Théâtre Plaza. Pour l’occasion, l’ensemble vocal Les Jazzeries, composé de 11 chanteurs et 5 musiciens, fera entendre ses plus belles mélodies sous la direction musicale de Pierre Blais.

Collecte de fonds En duo pour la Fondation du CHUM

Par le biais de ces deux activités, M. Desautels prévoit amasser des fonds à hauteur de 30 000 $ afin de soutenir les soins prodigués aux patients du Service de gastro-entérologie du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM). Lui-même patient de ce Service depuis 30 ans, il souhaite dorénavant redonner au CHUM en guise de reconnaissance pour les bons soins reçus. Plus précisément, les fonds serviront à la recherche sur l’alimentation, au développement de médicaments pour combattre les maladies inflammatoires de l’intestin et, de façon plus générale, à offrir une meilleure qualité de vie aux patients atteints de ces maladies.

Le traitement des pathologies digestives est l’une des spécialités du CHUM. Son Service de chirurgie digestive, auquel s’allie une équipe interdisciplinaire en oncologie, assure une prise en charge globale des patients. Du dépistage, en passant par les traitements, la recherche et l’enseignement, c’est un axe médical complet qui y est consacré.

Si vous désirez commanditer la soirée-bénéfice jazz ou l’ascension du mont Mera Peak, ou simplement offrir un don, il vous est possible de le faire via le formulaire dédié aux deux activités de M. Desautels. Pour acheter des billets, communiquez directement avec l’organisateur à EnDuo@fondationduchum.com ou au 450 522-0903.

Une course ludique pour soutenir les patients du CHUM

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La troisième édition de la course de nuit Night RaceMC se tiendra le 14 septembre prochain au parc Jean-Drapeau.

Un tournoi qui fait la différence

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10 Septembre 2013

La générosité de quelque 300 golfeurs, donateurs et commanditaires a permis d’amasser la somme record de 2 025 000 $ à l’occasion de la 13e Classique de golf de la Fondation du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM), ce lundi 9 septembre au Club Laval-sur-le-Lac. La Classique, l’un des tournois de golf les plus lucratifs du milieu de la santé au Canada, contribue à donner le meilleur de la santé aux centaines de milliers de patients qui franchissent chaque année les portes du CHUM, puisque 100 % des profits de cette activité lui sont remis.

La Classique était coprésidée cette année par le Dr Guy Leclerc, cardiologue au CHUM et président d’AccelLAB, Mme Marie-Berthe Des Groseillers, secrétaire corporative du Groupe BMTC inc. et présidente de la Fondation Brault & Martineau, ainsi que M. Sam Scalia, président de Samcon inc.

« La Classique de golf contribue au mieux-être des patients puisque les sommes amassées permettent de poser des gestes concrets pour améliorer les soins, faire avancer la recherche, appuyer l’enseignement et offrir un environnement propice à la guérison au CHUM, a souligné le Dr Leclerc. Depuis sa première édition en 2001, cet évènement a permis de récolter près de 18 M$. Son succès dépend entièrement de l’engagement de la communauté des affaires et médicale, qui se rassemble fidèlement chaque année pour ce tournoi. »

La 13e Classique de golf revêtait une importance particulière puisqu’elle commémorait les 15 ans de la Fondation, mais aussi parce qu’elle soulignait l’inauguration imminente de la première phase du nouveau CHUM, qui comprend le Centre de recherche du CHUM (CRCHUM) et le Centre intégré d’enseignement et de formation (CIEF).

Le président-directeur général de la Fondation du CHUM, M. Ékram Antoine Rabbat, tient à remercier les commanditaires de la 13e Classique de golf : Abbott Vascular, Brault & Martineau et le Centre cardiovasculaire du CHUM.
Cliquez-ici pour lire le communiqué de presse.

Cliquez-ici  pour visionner la vidéo présentée le soir de la Classique, offrant un survol des composantes du CRCHUM et du CIEF.

Sur la photo, de gauche à droite : Ékram Antoine Rabbat, président-directeur général, Fondation du CHUM; Gilles Dulude, président du conseil d’administration, Fondation du CHUM;
Yvon Deschamps, porte-parole bénévole, Fondation du CHUM; le Dr Guy Leclerc, coprésident d’honneur de la Classique et cardiologue, CHUM et président, AccelLAB; Judi Richards;
Yves Des Groseillers, vice-président de la campagne majeure, Fondation du CHUM et président du conseil d’administration, président et chef de la direction, Groupe BMTC inc.;
Suzanne Des Groseillers; Christian Paire, directeur général et chef de la direction, CHUM; Alain Cousineau, président du conseil d’administration, CHUM.

Dr Paul Perrotte relève le Défi Montréal-Québec pour le CHUM

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12 Septembre 2013

Le Dr Paul Perrotte, uro-oncologue et président du conseil des médecins, dentistes et pharmaciens (CMDP) du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM) et son équipe, ont relevé leur défi avec brio samedi dernier en parcourant les 275 km qui séparent les villes de Montréal et de Québec à vélo.

Le coup de départ a été donné à 7 h 30 aux portes de l’Hôtel-Dieu de Montréal et toute l’équipe, constituée de 14 courageux cyclistes, a pris la route vers la ville de Québec. Le trajet, qui a duré plus de 9 heures, s’est déroulé sous un ciel gris qui a laissé échapper quelques gouttes de pluie. « Nous ne pourrions être plus contents, malgré la température hésitante nous avons vraiment eu une journée magnifique et toute l’équipe s’est rendue à destination sans difficulté. Tout au long de la journée, nous avons pensé au courage et à la détermination des patients du CHUM et cela nous a donné l’envie de nous surpasser », a déclaré le Dr Perrotte.

L’équipe du Dr Perrotte était notamment composée de deux autres professionnels œuvrant au CHUM, soit le Dr Pierre Laramée, cardiologue et Martin Côté, préposé au bloc opératoire. Tous peuvent dire mission accomplie, puisqu'ils ont largement dépassé le montant recueilli lors de la première édition. À ce jour, près de 77 000 $* ont été amassés, mais la collecte de fonds n’est pas terminée! Les fonds reçus permettront de vaincre deux des principales causes de décès au Canada : le cancer et les maladies cardiovasculaires, et serviront directement à l’amélioration des soins pour les patients et à l’avancement des activités de recherche au CHUM.

« Je remercie tous les donateurs qui ont répondu à notre appel. Nous sommes en voie de doubler la somme de l’année dernière! L’argent amassé fera une réelle différence dans la vie des patients de notre centre hospitalier et j’en suis bien fier! Je tiens également à saluer mon équipe sans qui cette réussite n’aurait pas été possible », a indiqué Dr Perrotte.

Colloque biennal de l’ACIISB

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16 Septembre 2013

Une technologie acquise grâce à la Fondation du CHUM est présentée

Le 13e colloque biennal de l’Association canadienne des infirmières et infirmiers en soins aux brûlés (ACIISB) s’est déroulé du 12 au 14 septembre dernier à Montréal. Pour l’occasion, le directeur général adjoint de la Fondation du Centre hospitalier de l’Université de Montréal (CHUM), Hugo Rivard-Royer et Suzie Bond, psychologue clinicienne-chercheure à l’Unité des grands brûlés du CHUM ont fait une présentation intitulée Nouveaux médias : la technologie au service du patient.

Les participants ont donc eu la chance d’en apprendre davantage sur les stations multimédias déployées au sein de l’Unité des grands brûlés, qui permettent aux patients hospitalisés de garder contact avec leurs proches. Rappelons que ces stations ont été acquises grâce à la générosité des donateurs de la Fondation du CHUM, puisque 109 000 $ ont été amassés pour ce projet.
Plusieurs autres professionnels du CHUM ont participé à ce colloque : la Dre Isabelle Perreault, chirurgienne plasticienne, le Dr Nicholas Bergeron, psychiatre et les Drs Dominique Lafrance, Marc-Jacques Dubois et Redouane Bouali, intensivistes.

Pour en savoir plus sur le fonctionnement des stations multimédias, nous vous invitons à visionner les témoignages de deux patients ainsi que d’une professionnelle œuvrant à l’Unité des grands brûlés.

Vous pouvez aussi consulter la capsule vidéoréalisée avec Suzie Bond dans le cadre de notre campagne majeure de financement.

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